Philippe Tabarot : ministre délégué aux transports du gouvernement Bayrou
Certains préciseront de l'éphémère équipe Bayrou vu les nominations que l'on sait. Nous vivons sous nos yeux un défilé accéléré de ministres depuis quelques temps. Celà n'a évidemment rien de bon pour le pays puisque leur crédibilité même est affaiblie, les vraies décisions étant prises dans la pénombre par les technocrates que l'on connaît, SNCF Réseau en tête.
Donc la cérémonie de passation de pouvoir a eu lieu ce jour 24 décembre à 10h entre :
L'ancienne team de Catherine VAUTRIN, ministre du Partenariat avec (...)
La rédaction
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Philippe Tabarot : ministre délégué aux transports du gouvernement Bayrou
Certains préciseront de l’éphémère équipe Bayrou vu les nominations que l’on sait.
Nous vivons sous nos yeux un défilé accéléré de ministres depuis quelques temps. Celà n’a évidemment rien de bon pour le pays puisque leur crédibilité même est affaiblie, les vraies décisions étant prises dans la pénombre par les technocrates que l’on connaît, SNCF Réseau en tête.
Donc la cérémonie de passation de pouvoir a eu lieu ce jour 24 décembre à 10h entre :
L’ancienne team de Catherine VAUTRIN, ministre du Partenariat avec les territoires et de la Décentralisation, Françoise GATEL, ministre déléguée chargée de la Ruralité, du Commerce et de l’Artisanat, Fabrice LOHER, ministre délégué chargé de la Mer et de la Pêche, François DUROVRAY, ministre délégué chargé des Transports qui n’aura été là donc que quelques mois,
et
François REBSAMEN, le nouveau ministre de l’Aménagement du territoire et de la Décentralisation, Philippe TABAROT, le sénateur des Alpes-Maritimes, nouveau ministre chargé des Transports, Françoise GATEL, la ministre déléguée chargée de la Ruralité, Juliette MÉADEL, la nouvelle ministre déléguée chargée de la Ville.
Le 24 décembre à 10h00 à l’Hôtel de Roquelaure à Paris.
Bien que Philippe Tabarot ne soit pas l’un des pires chargés des transports que la région PACA ait connu nous réserverons notre avis et attendrons ses positions, ses décisions et sa capacité à imposer le ferroviaire comme le mode de déplacement structurant les autres modes de transports, c’est-à-dire s’appuyant sur la complémentarité des autres moyens et non pas la concurrence entre les systèmes, ce que beaucoup de politiques de son parti (LR) tentent de mettre en place dans leurs collectivités, au détriment du train jugé trop coûteux et complexe.
